Bernard

ton cliché est loin d'être médiocre et le message qui l'accompagne plein de poésie "gustative".

un élèment de réponse à ta question , les citernes de carburant étaient jaugés avec un sabre posé sur des piges soudées en bordure des dômes et avec l'aide d'un abaque ,et dans les raffineries il y avait des volucompteurs et des bascules ,choses qui je pense n'existait pas dans les caves .

Merci Jean-Bernard pour tes explications toujours aussi intéressantes.   

Francky 79 a écrit:

Bonjour Pat,
C'est dimanche avant l'heure    belle image malgré son âge.. on peut voir sur ce modèle les clignotant bâtons placés sur les côtés.
Merci encore pour ce cliché du mercredi soir   

Très belle image en effet, pleine de l'ambiance de l'époque! On voit non seulement les clignotants, mais les tuyaux d'injecteurs, et le gars devait astiquer sa calandre!

et les clignotants batons.....s'appelaient à l'époque des fleches.....tout simplements....

Bonjour à tous.

 Pour répondre à "pat" sur le probléme des niveaux, c' était en priorité une question de sécurité. Ce système visuel du liquide dans un tuyau en plastique, n'étaient pas conforme à la réglementation des liquides inflammables voir dangereux, pour des raisons évidentes que vous imaginez (Trop vulnérables, Risques de rupture etc....).
Les autres raisons ,Jber nous les a évoquées plus haut.
Ces Systèmes pour les pinardiers avaient deux fonctions:
1 - Apprécier visuellement le niveau du vin dans la cuve lors du chargement, sans rester en haut de la citerne pour contrôler par le trou de dôme. 
2 - En plus, une règle en laiton verticale, attenante au tube en plastique transparent, permettait de visualiser la quantité du liquide chargée dans la cuve. Ce qui n'empêchait pas  le contrôle au "Sabre", plus précis en général lors des variations de température entre le chargement et le déchargement
Il y avait autant de niveaux que la citerne contenait de compartiments. 
Merci  "pat" de nous sortir d'aussi belles photos.

Merci à vous "les anciens" de nous transmettre tous ces explications, que certains d'entre vous ont bien connu.

Pour les niveaux de liquides visibles de l'extérieur, je crois que ce sont les douanes qui contrôlaient les transports de boissons alcoolisées en délivrant ce qu'on appelait les acquits, n'avaient-elles pas intérêt elles aussi à ce système pour leurs contrôles ?

Pas spécialement Capron. 
 Les douanes contrôlaient la validité des acquis et dans certains cas, prélevaient directement un échantillon du liquide dans la citerne pour l' analyser (soit disant!!!).
 Ces  niveaux visuels équipaient uniquement les citernes qui transportaient du vin. (en principe) . Les alcools purs par exemple n'y avaient pas droit ( produits dangereux inflammables). A+

Merci pour vos réponses les gars . J'avais le  souvenir d'avoir entendu ces chauffeurs disserter  (et je suis poli ) sur ces fonctionnaires  de la loi et  leurs prélèvements d’échantillons  !!! Je ne sais pas s'ils  les buvaient, mais le voyage dans les sacoches de la moto de ce vin Algérien ne devait pas avoir le gout du  SAINT-ÉMILION  à l'arrivée . Le port de ROUEN ne recevait que des vins Algériens .

Enfin tout ça pour dire que le vin "puque t'en bois puqu'te plein"     

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la photo n'est pas de la meilleure qualité, un peu tardivement et en l'absence de notre ami gazogène qui doit balader sur les routes nationales entre la RN 6 et je ne sais quelles autres RN de France voici le Bernard du Dimanche

celui -ci est un 105 , 6 roues acquis en 1948 par les transports Galletti H.A ,la citerne en aluminium de ce porteur est dèstiné au transport des produits pulvérulents, ici le plus souvent de l'alumine, je ne sais pas qui à carrossé ce véhicule mais la petite porte sous la vitre de la couchette donne accés au logement de la roue de secours

voici en attendant que notre ami Gazogène trouve une rallonge électrique assez longue pour se connecter l'image de la soirée de Dimanche   

Bonjour Jean-Bernard,

Je commençait à me dire nous n'aurons pas notre Bernard du dimanche...et bien le voilà qui arrive il ne faut pas désespéré !!! heureusement que tu en as encore dans tes archives.
Belle photo malgré son âge.
Bonne semaine.

tres beau document....effectivement la porte sous la couchette pour la roue de secours ....j'ai vu cela...merci...

Merci Jean Bernard d'avoir pris le relais avec cette belle photo.  Je reprendrai la main dimanche prochain mais hélas un seul "Bernard" rencontré lors de mes vacances. Le 185 six roues de P. Depaeuw dans "La Rochepot". Superbe démonstration!!!!!!avec tous les autres participants bien sur.

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Merci Michel pour ce très beau cliché en couleur, de nos jours trop rare......

A quinze ans, déjà accro au BERNARD. 53 ans après plus de BERNARD mais toujours la même passion!!!! 

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Magnifique le Bernard merci Gazo

J'ai fait un petit parcours en tant que passager en 26DA160, 1 six roues donc, j'avais bien apprécié le confort de la vaste cabine - et toi qu'en as-tu pensé en le conduisant ?

Je vois que Gazo'''''' est toujours fidèle pour ce RDV du dimanche si apprécié de tous !!! pour ma ayant fait un tour en TDA c'était le pied....

Trop jeune, Je n'ai jamais conduit ce TDA, seulement pour jouer au routier le week end quand il était au garage. j'ai conduit par contre à 16 ans un TD180 En double avec mon cousin (pour me faire la main) puis tout seul à 18 ans, un porteur 16O et un 180 avant de reprendre définitivement la semi et le TD180. Mon dernier de la marque étant un Bernard Mack TD 211/35. Mon coup de cœur, le TD180 pour la cabine Pelpel N°3 et le TD 211 pour le moteur et la boite Mack. Le TDA (cabine télévision), à part une gueule sympa et moderne, avec sa cabine fixe et son volumineux capot moteur intérieur était beaucoup moins fonctionnel et convivial que les museaux longs. D'ailleurs le TDA de la photo a eu une durée de vie assez courte et fut remplacé suite à un grave accident par un TD180 conventionnel avec option cabine N°3 beaucoup plus confortable.  Amitiés Capron A+

merci Michel pour tes superbes photos et tes souvenirs d'enfance, c'est vrai que le capot moteur a l'intérieur prenait une sacrée place, un peu comme les jm 240, il fallait faire de la gymnastique pour aller dormir, mais pour moi la cabine télévision avait une belle gueule quand même
bien amicalement
dédé

Belles photos et toujours des souvenirs intèressant, merci pour ta question Michel je n'ai pas encore la réponse