Transports hippomobiles

Bj quelle collection de cartes tu as!!! c'est vraiment un regal de nous faire partager toutes ces beautés.....GJC a+

Avant les camions, les cheveaux ....

Une superbe idée !!!!!!!!!

Et en plus, avec de si beaux documents !!!!!!!!!!!!!!

DJO, encore une fois, félicitations pour partager tes trésors ici sur le forum.

Transports de paille depuis la gare de ASCOUX 45
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Bj DJO tu es quand meme un vrai decouvreur de document. Tu es l'historien de notre site. Que des belles images ......GJC.....a+

Convoi Exceptionnel:

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A +

Louit et Louis, seriat-ce une mutation temporelle du nom en soi ?

Trouvé sur le net :

Histoire
Le maire de Biarritz, Félix Moureu, vend le sol des Arroques, (les rochers en Gascon, en opposition aux Sablacats, les sablières ancien nom gascon de la grande plage de Biarritz, en contrebas), à un riche bordelais, Edouard Louit, qui achète aussi les terrains de l’ancien chemin du phare déclassés et abandonnés. Il complète ses acquisitions avec des terres de la famille Moussempès. L’ensemble foncier de l'avenue comprend entre autres les terrains de Fantaisie et de Chimère (actuellement rebaptisée Altamira, sans doute dans l’ignorance des poèmes de Gérard de Nerval…), deux villas Louit. Nuit de mai est elle aussi baptisée en hommage à la poésie, cette fois celle de Musset. La villa Chimère est restée dans son état d’origine, un petit château dans le style médiéval. Fantaisie devait beaucoup lui ressembler avant d’être transformée par ses propriétaires américains dans les années trente.

Les Louit, bâtisseurs de Fantaisie, négociants, armateurs et industriels de l’alimentaire :
Les Louit qui ont construit Fantaisie sont des gascons originaires de Jegun dans la campagne du Gers et de l’Armagnac, près de Vic-Fezensac. L’un d’eux, Jean, émigre avant la Révolution et se marie à Nérac. La dynastie des Louit commence avec son fils Joseph Louit, né à Grand Nérac en 1770, élevé à Bordeaux par son oncle Paul, déjà commerçant. Joseph Louit se lance à Bordeaux dans le commerce de la morue. Rue de la Roussille (morue en gascon), il fait fortune. Bordeaux est alors un port marchand qui pratique le commerce triangulaire avec l’Afrique et les Antilles. La ville fournit, entre autres denrées, le poisson séché, que consomment les esclaves noirs dans les plantations des Caraïbes. Le commerce triangulaire est source ’immenses richesses. Au XIX° siècle, Bordeaux passe de 45.000 à 110.000 habitants. A Bordeaux, on pratique le négoce de la morue, le poisson préféré des habitants de la région, excellente source de protéines, depuis au moins le XIV° siècle. Le père de Michel Montaigne a édifié sa fortune avec la morue, rue de la Rousselle, lui aussi. Il fut maire de Bordeaux. Les bateaux morutiers et terre-neuvas s’ancrent dans le port de la lune. Des gabarres transportent la morue salée «verte» sur les quais. A partir de 1830, ils la débarquent plus amont, à Bègles. Joseph Louit meurt en patriarche, à 102 ans, comblé de biens et d’honneurs.
Ses descendants vont poursuivre une belle ascension financière et sociale.
Les fils Louit se diversifient dans l’épicerie et les conserves. Ils deviennent les premiers en France et en Europe dans la production et la commercialisation du chocolat et de la moutarde. La chocolaterie Louit occupait à Bordeaux l’emplacement actuel de FR3 Aquitaine. Au milieu du XIX°, la maison de commerce et de conserves alimentaires Louit fondée en 1825 est titulaire de 60 médailles et diplômes d’honneur. Les Louit sont à la tête de la plus grande industrie du sud-ouest. Elle perdurera jusqu’à la fin
de la guerre 1940-1945 puis elle disparut anéantie par les difficultés d’approvisionnement de la moutarde et les ambitions financières d’un directeur de l’époque.
Emile Louit est décoré de la légion d’honneur par Napoléon III. Il donne à Bordeaux un journal (le Journal de Bordeaux, 1861), un théâtre bâti en 1868 (le théâtre Louit), un grand magasin, (Les Folies bordelaises, à l’actuel emplacement des Nouvelles Galeries)... Il est décoré de l’ordre d’Isabelle la catholique et de la Légion d’honneur.

1898-1928: les 30 années Louit à Fantaisie :
Edouard Louit, l’acquéreur des terrains de la falaise et le commanditaire de la villa Fantaisie, ouvre une succursale à Saint Sébastien en Espagne.
Fantaisie est bâtie à partir de 1898. Lors du partage des biens d’Edouard, Fantaisie revient à Joseph Louit né le 18/08/1865 à Bazas qui gérait alors la «maison Louit frères et compagnie » dont « le cacao Louit pur, préparé sans
produits chimiques… le chocolat fondant à croquer à la vanille, à la noisette, au café» sont célèbres dans les affiches et la publicité de l’époque.


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En 1893, Joseph épouse Marie Josèphe Jeanne Valentine Bonhomme de Montaigut qui meurt jeune dans un accident de voiture, (en 1904 ?). Il épouse en secondes noces Marie Charlotte Léonie Bonhomme de Montaigut (sa belle-sœur ?). Valentine fut sans doute la muse artiste et cultivée de Fantaisie et sa «dame à la haute fenêtre». Joseph a 4 enfants.

Donc, les Louit sont une famille entreprenante, et ils faisaient dèjà du commerce avec le Pays-basque ..... intéressant !

USA 1895


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A +

et le gyrophare il est ou estce bien raisonable

cordoba_580 a écrit:

Donc, les Louit sont une famille entreprenante, et ils faisaient dèjà du commerce avec le Pays-basque ..... intéressant !

Succursale Louit de Paris à Levallois-Perret:

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PS: Ce batiment existe toujours en dépit de toutes les transformations urbaines intervenues depuis.

A +

Manutention portuaire à Dunkerque:

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A+

Super toutes ces photos de ces attelages d'un autre temps .
  bravo DJO d'avoir présenté cela dans le forum , car ça rend hommage aux hommes bien sûr qui avaient un dur travail, mais aussi à ce merveilleux animal qu'est le cheval et cela dans tous les domaines . 
Aussi c'est avec beaucoup de plaisir que parfois on voit des reportages à la télé sur le travail des chevaux remis au goût du jour . Ici à Tarascon ,  en service depuis quelque temps une remorque tirée par deux comtois pour le ramassage des sacs jaunes pour le recyclage .

Superbes photos !!!!